Je ne suis pas au mieux de ma forme…

Maladie mentale

maladie mentale

Je ne suis pas au milieu de ma forme… Il pleut, l’automne est arrivé. Les oiseaux migrent vers l’Afrique. Je suis au même endroit depuis ce qui me semble être des siècles. Malheureusement, je vais y rester encore quelques mois. Je n’ai pas le choix, je dois aller mieux pour être tranquille après.

Je suis malade

Comme vous l’avez surement compris, je suis malade. Je suis hospitalisée et je cherche des solutions pour aller mieux. L’écriture est mon pansement pour ne plus sentir la douleur qui traverse mon corps et me laisse sans force. Je suis forte psychologiquement. Seulement, comme beaucoup de personnes, je suis fatiguée mentalement. J’ai vécu des évènements traumatiques sans broncher. Petit à petit, ils m’ont fait plier.

Je me soigne, je progresse et je commence tout juste à me sentir mieux. Les clés pour avancer arrivent. Je m’occupe de moi pour pouvoir aider les autres. Je suis bénévole dans des associations. Il faut continuer à prendre du plaisir à faire les choses. Cela donne aux autres la possibilité d’évoluer.

La santé mentale

La santé mentale est le nerf de la guerre : si vous allez mal psychiquement, vous faites mal les choses. C’est comme ça, pas autrement. Votre cerveau pense à vos problèmes et ne se concentre pas sur les autres aspects de votre vie.

Nous allons tous mourir un jour et c’est inéluctable. On nait, on vit, on meurt. Parfois jeune parfois très âgé. Nous n’avons pas tous les mêmes chemins de vie. La lutte est inégale et elle le sera toujours. Nous n’avons pas le choix. La mort fait partie de la vie. Elle arrive, elle emporte et nous n’y pouvons rien.

Conclusion

Voici mes réflexions du moment. J’espère que tout va bien de votre côté. Si vous êtes arrivés à lire jusque là, vous pouvez mettre le mot « vie » dans les commentaires. Je vous répondrai du mieux que je peux.

A bientôt,

Hannah

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/09/10/maladies-mentales-il-est-urgent-d-agir_5508597_1650684.html

http://chloeannadavidben.wpweb.fr/wp-admin/post.php?post=1541&action=edit

Pourquoi un blog ?

Pourquoi un blog ?

Pourquoi un blog ?

Un blog, c’est un moyen pour moi de passer du temps à faire ce que j’aime : écrire et jouer avec l’ordinateur pendant des heures. 

C’est également un moyen d’expression : je suis meilleure à l’écrit qu’à l’oral. Ça a toujours été comme ça mais j’essaie de m’améliorer parce que, parfois, c’est un problème. 

Ecrire est une passion, c’est l’activité que j’aime le plus pratiquer. Je suis tombée dans la marmite quand j’étais petite et je pense que je suis imprégnée à vie. 

Je vous vois venir : oui mais pourquoi pas essayer d’écrire un livre dans ce cas ? Pour la réponse, je vous renvoie à mon article sur « Comment se faire publier ? » Pour être honnête, j’ai déjà des manuscrits de terminés mais je n’ose pas les envoyer. J’y travaille…

Ce qui me fait peur ? Sortir de ma zone de confort. Perdre ce que j’ai mis tant de temps à avoir : ma famille. Là encore, je vous vois venir : ta famille ne fait pas ta vie. Il n’y a que moi qui prend les décisions. Heu… pas si simple. 

L’écriture a plusieurs façons d’exister

La parole n’a pas plusieurs façons d’exister ; l’écriture si. Elle a plusieurs styles, plusieurs façons d’écrire ou de fonctionner. La nouvelle ou le roman sont libérés, aériens et la poésie est codifiée, stricte et rigoureuse. Il y en a pour toutes les personnalités.

Dans quelles circonstances le blog est né ? 

J’y pensais depuis longtemps, j’ai pesé le pour et le contre et je me suis dit que c’était maintenant ou jamais. Je veux réaliser mes rêves et 2023 est l’année de tous les risques. Je commence à m’autoriser à rêver. J’ai décidé de prendre des risques pour sortir de ma zone de confort et je commence à le faire petit à petit. 

Je m’explique : lorsque j’écrivais, j’effaçais systématiquement tout mon document et il y a des manuscrits qui sont partis à la poubelle. Maintenant, j’ai suffisamment confiance en moi pour savoir que je n’écris pas si mal que ça.

A bientôt !

 

Les hallucinations

Bonjour,

Hallucinations

Hallucinations

Qu’est-ce que c’est ?

Les hallucinations sont des perceptions sensorielles qui n’existent pas réellement dans la vraie vie. Elles sont le fruit d’un esprit malade qui ne se controle plus.

Il y a différentes formes d’hallucinations mais les plus fréquentes sont auditives, visuelles et olfactives.

_ auditives : quelque chose qu’on entend (télépathie)

_ visuelles : quelque chose que l’on voit (vision)

_ olfactives : quelque chose que l’on sent (généralement, une mauvaise odeur)

Les Juifs sont télépathes et visionnaires. Pour eux, ce n’est pas de la schizophrénie mais un art de vivre. Malheureusement, les médecins ont souvent l’esprit cartésien et ne croient pas leur patient(e) quand ils expliquent que c’est normal pour eux de fonctionner de cette manière-là.

Il faut aussi comprendre que si un peuple tout entier est capable de le faire, c’est que tous les humains sur Terre ont la possibilité de le faire. Nous avons tous le même fonctionnement cérébral.

Comment s’en débarrasser ?

Il faut comprendre le fonctionnment neuronal pour ne plus en avoir. Le problème, c’est que les patients croient en ce qu’ils perçoivent au cours de l’hallucination. Il le prennent pour une réalité absolue alors que ce n’est qu’une fausse perception des choses et de l’environnement immédiat.

Le ou la patient.e doit comprendre que ce n’est pas la réalité mais que c’est son cerveau qui est malade. Pour celà, il faut être convaincue que ce n’est pas la réalité et donc être capable d’en parler à un.e professionnel.le pour faire la part des choses.

Comment faire la part des choses ?

Pendant des moments d’acalmie, il faut y repenser et se demander s’il y a un sens à cette manifestation dans la vie réelle. Si c’est non, c’est en-dehors de la réalité et donc, une hallucination.

Pour espérer guérir, il faut faire une thérapie avec un psychologue clinicien qui saura, s’il est doué, s’adapter et poser les bonnes questions pour faire avancer et progresser le patient en plus du traitement médicamenteux délivré par un psychiatre.

Voilà, j’espère que cet article vois aura plu.

Pour aller plus loin :

Les idées délirantes

https://www.nytimes.com/2012/12/30/books/review/hallucinations-by-oliver-sacks.html

A bientôt,

 

 

 

 

 

 

Complexe d’Oedipe

Complexe d'Oedipe
Complexe d’Oedipe

Le complexe d’Oedipe est l’ensemble des investissements amoureux et hostiles que l’enfant fait sur ses parents lors de la phase phallique.

Il doit conduire à la disparition de ces investissements et à leur remplacement par des identifications.

L’Oedipe chez le garçon

Le père est pris comme idéal avec un intérêt libidinal pour la mère. Vers deux/trois ans, il ressent des choses par masturbation en pensant à sa mère. Il veut la posséder et qu’elle quitte son père pour lui. Son père devient un rival. Pour le séduire, il se soumet à lui et cherche à séduire sa mère en le lui montrant. Le petit garçon doit s’identifier à son père pour assumer sa masculanité en se castrant mentalement.

L’identification paternelle s’appelle le surmoi. Il apprend à devenir comme son père en apprenant les caractéristiques masculines exclusivement.

L’Oedipe chez la fille

A l’origine, elle se détache de sa mère et doit comprendre son infériorité par rapport au garçon. Elle se considère comme castrée. En réaction, elle se détourne de sa sexualité, elle ne démord pas de sa masculinité et elle cherche son père. La fille se détache de sa mère pour avoir un enfant avec son père. Elle s’identifie à la mère mais elle veut la remplacer et la déteste cordialement (rancune + jalousie oedipienne). Elle aura un blocage affectif et ne sera jamais indépendante.

Points communs entre garçon et fille

Le point commun est le complexe de castration. Les points différents sont, pour le garçon, la fin du complexe et pour la fille, le début du complexe.

Conclusion

Le passage par l’Oedipe aboutit à l’hétérosexualité et à la formation de l’Inconscient (source morale et religion). Dès lors, le petit garçon et la petite fille commencent à apprendre la notion de bien et de mal pour renforcer leur éducation morale et religieuse.

Je vous souhaite une bonne semaine et à très bientôt.

Emprise psychologique

Qu’est-ce que l’emprise ?

Triangle de Karpman

Triangle de Karpman

Définition de l’emprise

L’emprise est un phénomène de domination d’un bourreau sur une victime et/ou un sauveur. Une victime est quelqu’un qui subit l’emprise du bourreau et le sauveur est celui qui cherche à sauver la victime mais il n’y arrive jamais parce qu’il ne sait pas comment faire.

Caractéristique de l’emprise

La victime et le sauveur obéissent obligatoirement au bourreau qui leur fait faire ce qu’il veut. Le bourreau s’impose sur toutes les vies du sauveur et de la victime. Il leur dicte leurs choix et les dirige comme des pantins selon ses humeurs et ses désirs.

Le bourreau se comporte comme un enfant, il pique des crises monstrueuses lorsque l’on s’oppose à lui et il s’arrange toujours pour avoir le dernier mot.

Le bourreau fait la loi à la maison mais il cache son comportement pour les personnes qui ne sont pas sous son emprise ou qu’il aimerait dominer plus tard une fois que les victimes et sauveurs auront dit stop et se seront libérés de l’emprise car c’est possible d’y arriver.

Comment se manifeste-t-elle ?

Harcèlement moral

La victime doit obéir aux ordres du bourreau. Elle doit être soumise et obéissante. Mais, paradoxalement, elle doit être assez forte psychologiquement pour pouvoir résister plus longtemps à l’emprise du bourreau.

Le bourreau a tout intérêt à continuer à jouer au chaud et au froid avec le sauveur et la victime car sinon, il faudrait en trouver d’autre puisque il n’a pas intérêt à se mettre à dos ses deux « esclaves » qui pourraient se rebeller et lui claquer la porte au nez.

Retentissement physique

La victime ne vit plus : elle ne dort plus, elle ne mange plus, elle ne sort plus dehors. Elle n’a plus d’activité physique ni d’activité tout court et elle se laisse mourir à petit feu.

La victime maigrit, va de moins en moins bien et elle est incapable de se ressaisir pour aller mieux parce qu’elle ne se rend pas vraiment compte de son état.

L’emprise d’un pervers est traitre. Le travail de deuil est, en partie, d’apprendre à les reconnaitre pour ne plus retomber sous emprise.

 

Le changement a du bon

Le changement a du bon

Le changement a du bon

La définition du changement est : le « fait de ne plus être le même ». Le changement a du bon et je vais expliquer pourquoi.

Pourquoi changer ?

C’est vrai ça, pourquoi changer ? Tout simplement parce que vous en ressentez le besoin et que le changement fait partie de la vie. Ça fait du bien mais c’est une démarche personnelle uniquement. Le changement est un moyen d’aller bien mentalement. 

Pour aller mieux

Changer pour aller mieux, c’est une très bonne motivation pour évoluer. Le changement est quelque chose de positif même si la démarche reste compliquée à gérer émotionnellement. Il ne faut pas en avoir peur. 

Pour changer, il faut du temps et c’est normal. Il ne faut pas s’inquiéter. Vous apprenez lorsque vous évoluez et par moment, c’est dur. Votre cerveau fait de la résistance parce qu’il est heureux de rester comme il a été avant la décision de changer. C’est facile de rester le même mais cela rend-il heureux sur le long terme ? Je ne pense pas.

Pour soi

La décision de changer est personnelle. il faut être extrêmement motivé parce que la tâche va être compliquée. Ce sera les montagnes russes, vous vous poserez des questions qui en amèneront d’autres et ça ne s’arrêtera pas jusqu’à ce que vous ayez toutes vos réponses. 

Changer fait du bien

Comme je viens de l’écrire, le changement est une démarche positive. Elle est construite pour apporter du bien être au corps qui s’est battu pendant le processus de changement, lorsque vous appreniez et que vous commenciez à avoir les réponses à vos questions.

Le moral s’améliore

Le moral s’améliore doucement et vous retrouvez le sourire petit à petit. Vous recommencez à sourire, à faire des blagues, à vivre tout simplement et ça fait du bien. Vous êtes en haut de la montagne. Maintenant, il faut trouver le moyen de rester sur le sommet de la montagne que vous avez gravi. Pour ça, il faut avoir la réponse à d’autres questions. Les réponses sont aussi personnelles que vos questions et il ne faut pas s’affoler, c’est normal. 

Pour évoluer dans la vie

Le changement bouscule les anciennes évidences pour en créer de nouvelles. Ce sont les conséquences des réponses que vous avez obtenu. Certaines idées que vous aviez sont maintenant reléguées aux oubliettes et vous continuez à changer positivement en agrandissant vos connaissances et vos compétences que vous a amené le changement. Vous continuez à évoluer sur votre nouveau chemin et vous avez des sourires de plus en plus grands.

Voilà, les outils du changement sont personnels, tout comme votre histoire et vos réponses. Alors, à vous de trouver.

A bientôt, 

Hannah

Pour aller plus loin : 

https://www.cnrtl.fr/definition/changement

Le but d’une thérapie

Ecriture thérapeutique

Ecriture thérapeutique

Ecriture thérapeutique

Ecriture thérapeutique, qu’est-ce que c’est ?

L’écriture thérapeutique sert à se détendre et à arrêter d’être angoissé en exprimant ses émotions sur du papier. Pour ça il vous faut uniquement une feuille de papier et un stylo.

Sur la feuille, vous avez le droit de tout dire. Il faut écrire tout ce qui vous passe par la tête pour se relire et faire le tri entre ce qui est de l’ordre de la peur et ce qui est rationnel. Le but n’est pas de vous traiter de menteur mais d’accepter vos émotions telles qu’elles sont et de faire le tri entre ce qui est un fantasme et ce qui est la réalité.

Un fantasme est un rêve, quelque chose d’irrationnel qui peut devenir réalité ou pas. La réalité se réalise toujours quelque soit le contexte.

Les peurs et les angoisses ne sont pas des mensonges. Ce sont des ressentis sur quelque chose qui arrive ou qui va arriver et qui génère ces sentiments. Qu’il y ait une raison apparente ou pas, la peur envahit et détruit sur son passage. Alors, il faut vous poser calmement quelque part pour vider votre sac sur du papier plutôt que sur la photocopieuse.

A quoi ça sert ?

Le but est de relativiser, de trouver des choses positives dans la situation angoissante et de s’y raccrocher. Exprimer ses émotions sert à voir autre chose que ce qui est source d’angoisse comme par exemple, la peur de vous faire manger par un requin quand vous nagez et que vous n’avez plus pied (j’invente).

L’écriture est libératrice. Elle permet de s’exprimer en privé, en gardant ses écrits pour soi, ou publiquement en lisant ses écrits en public. Ça demande une certaine force de faire ce travail mais c’est bénéfique et ça en vaut le coup.

Voilà, je me suis exprimée et mon angoisse est partie. A vous maintenant.

A bientôt,

Hannah

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

Bonjour,

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent. Non, je n’en ai aucune idée. Je ne peux faire que des hypothèses et je vais essayer d’en faire dans cet article.

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

 

Leur état reste le même

Ils sont pervers et ils continuent encore et toujours à chercher des proies pour retarder l’échéance qui se rapproche inéxorablement. Ils sont conscients de leur état et ils ne s’en cachent pas, comme lorsqu’ils étaient jeunes et qu’ils « s’amusaient » à choisir des proies pour les faire souffrir et leur voler de l’énergie vitale. Le triangle de Karpman est plus que jamais d’actualité et il fonctionne à plein régime.

Triangle de Karpman

Karpman est un médecin psychiatre, spécialisé dans l’analyse transactionnelle et la psychologie contemporaine. Il a enseigné la psychiatrie à l’Université de Californie.

Ils sont encore plus entrainés et deviennent réellement dangereux pour les autres

Ils ont de l’expérience dans l’art de manipuler et ils le font savoir ! Avec le temps, ils deviennent de plus en plus redoutables et, du coup, redoutés. C’est leur but : ils veulent faire peur pour attraper l’énergie des personnes qui ont des énergies négatives parmi leurs amis (c’est possible qu’ils en aient), famille, etc. Toutes les personnes côtoyées sont susceptibles de devenir une proie appréciable et appréciée. 

Ils ont peur de la mort et ils le font bien sentir à leur entourage

Ils stressent tout le monde en disant qu’ils vont bientôt mourir et, ainsi, attirer la sympathie et l’intention sur leur personne. Ils attendent de se faire plaindre et il y en a même qui s’inventent des maladies pour culpabiliser les autres en reportant la faute sur l’entourage compatissant et rempli de culpabilité et de regrets. Encore un moyen de récupérer de l’énergie vitale.

Ils se retrouvent tous seuls mais continuent à chercher du soutien dans l’entourage familial

La plupart du temps, ils se voient vieillir et plus le processus final approche et plus ils ont peur. Ils savent sans doute qu’ils ne reviendront pas et qu’ils n’auront peut être pas de réincarnation à cause du mal qu’ils ont fait pendant leur vie terrestre. En tout cas, ils ne se réincarneront pas en gentil. C’est pour ça qu’ils faut accepter l’idée qu’ils ne reviendront pas et que c’est mieux pour tout le monde.

Ils laissent tomber leurs habitudes perverses

Ne vous en déplaise, ils ne deviendront certainement pas normaux avant de mourir. Au contraire, ils auront tendance à en vouloir toujours plus.

Voilà, ce sont des hypothèses somme toute assez banales mais qui sont les miennes. Je n’ai rien inventé et je ne me suis pas renseigné avant de faire cet article. J’ai joué le jeu jusqu’au bout et je viens de vous livrer mes conclusions personnelles dans cet article.

A bientôt, 

Hannah

 

Un pervers peut-il guérir ?

Bonjour,

Les pervers peuvent-ils guérir ?

Les pervers peuvent-ils guérir ?

Un pervers peut-il guérir ? Le problème est que nous ne connaissons pas suffisamment ce type de problème de personnalité limite.

La perversion : état de fait ou maladie ?

La perversion n’est pas une maladie, c’est un état limite. C’est un trait de personnalité qui est inné chez la personne concernée. Il y a des hommes et des femmes pervers(e).

Le terme exact est « pervers narcissique ». Personnellement, je ne parle pas de narcissisme parce qu’ils en sont dépourvus et c’est là tout le problème. Ils essayent d’avoir chez les autres ce qu’ils n’ont pas chez eux/elles en leur volant de l’énergie vitale et en rendant leur victime ou sauveur malade à cause du stress qu’engendre cette relation.

Sont-ils fous/folles ?

Dans la vie quotidienne, le terme « folie » désigne l’égarement de la raison et « l’état limite » désigne les affections psychopathologiques entre la névrose et la psychose.

La perversion se situe dans les états limites et il ne faut qu’un pas pour que les pervers plongent dans la psychose, ce qu’ils/elles cherchent à éviter absolument en faisant du mal aux autres puisqu’ils refusent absolument de se faire soigner. Les professionnels de santé mentale sont leurs ennemis numéro un ; ils ne veulent pas entendre parler de cette branche de la médecine. C’est pourquoi, nous avons que très peu d’informations sur cet état puisqu’il y a très peu d’expériences scientifiques qui ont été réalisées à ce jour.

Leur faire peur avec ce qu’ils aiment le plus

Votre pervers aime plus que tout les films Marvel ? Créez-lui une peur avec ce contenu. Dans ce cas, c’est uniquement de la légitime défense. Je ne vous dis pas de vous transformer en pervers parce qu’à partir du moment où vous être sain(e), vous le resterez toute votre existence.

Et si votre pervers a peur des pervers ? Ben faites lui sa fête en le faisant douter de ses perceptions et de ses « connaissances » en matière de perversion. Nous sommes d’accord pour dire que vous ne vous connaissez pas à fond et donc, eux/elles non plus.

Savent-ils ce qu’ils font, sont-ils lucides ?

Oui, ils le savent parfaitement bien et ils font souffrir les autres sciemment. Même avec cette tournure d’esprit, ils restent lucides et ils sont donc pénalement responsables devant un tribunal. C’est la bonne nouvelle. La mauvaise, c’est qu’ils savent manipuler les juristes aussi bien que vous, une fois qu’ils ont trouvé votre faille. Obtenir une condamnation suite à un procès est très compliqué, il faut des preuves en béton pour le/la faire condamner : tout ce que vous avancez doit être prouvé.

Comment peuvent-ils guérir ?

Je ne pense pas qu’ils puissent être guéri grâce aux méthodes de la psychologie classique. Je pense que pour eux, il faut se remettre en question et innover dans la pratique même si ça semble peine perdue.

Ils sont lucides sur leur état et leur problématique. Pourquoi ne pas utiliser une méthode qui permettrait de les pousser vers la névrose, en leur créant des peurs, plutôt que vers la psychose ? Les peurs se soignent avec beaucoup de temps et de patience, du moment qu’on les affronte. J’ai fait un article intitulé « Affronter ses peurs »(http://chloeannadavidben.wpweb.fr/tag/affronter-ses-peurs/) qui résume la méthode pour arriver à évacuer ses peurs.

Le cerveau fait partie du corps

Bonjour,

Le cerveau fait partie du corps ; il est relié au reste du corps par le cou. C’est grâce à lui que nous fonctionnons comme nous le faisons. Il donne les ordres et le reste du corps exécute ses volontés.

Le cerveau, premier moteur de vie avec le système digestif

Nous pensons tous que le fonctionnement du cœur est le plus important et que la mort vient forcément d’une défaillance cardiaque. C’est évident que la mort survient lorsque le cœur s’arrête de battre mais quand le cerveau fonctionne mal, ça peut être une cause de mortalité aussi et le cœur cède en arrêtant de jouer son rôle.

Le cerveau fait partie du corps

Le cerveau fait partie du corps

La tête est reliée au reste du corps

La tête fait partie du corps et elle peut être malade, tout comme le reste de votre être. Le cerveau a des maladies spécifiques à soigner. Le problème, c’est que les médicaments manquent presque tous de molécules pour soigner la cause de la maladie. Ils servent uniquement à atténuer les symptômes des maladies en utilisant des molécules qui font barrage à ce qui est désagréable dans la vie de tous les jours : les effets secondaires.

Organisation cérébrale

Le cerveau est divisé en deux hémisphères : le droit et le gauche. Le système limbique est le siège des émotions qui sont plus ou moins développées selon la situation vécue et votre tolérance au stress. Les émotions fortes qui angoissent sont parfois la cause de maladies comme certaines psychoses ou les troubles anxieux (maladies angoissantes par excellent).

Le cerveau, centre névralgique du corps

Le cerveau est le centre des informations, des sentiments, des émotions et de tout ce qui nous permet de fonctionner harmonieusement. C’est l’organe mystérieux par excellence parce que les scientifiques ne sont pas totalement connaisseurs du fonctionnement de cet organe. Il reste beaucoup à découvrir et à apprendre.

Stigmatisation

Les malades mentaux sont stigmatisés car ils sont considérés comme différents du reste de la population puisque la maladie fait faire des choses curieuses. Lorsqu’il est malade, il réagit mal et crée toutes sortes de connexion défaillantes qui s’appellent des symptômes et qui sont voyants selon certaines pathologies.

Je reviendrai avec un article plus complet sur la stigmatisation et le combat de certaines personnes qui veulent banaliser ces maladies pour faire tomber un tabou de notre société.

A bientôt,

Hannah