Le cerveau fait partie du corps

Bonjour,

Le cerveau fait partie du corps ; il est relié au reste du corps par le cou. C’est grâce à lui que nous fonctionnons comme nous le faisons. Il donne les ordres et le reste du corps exécute ses volontés.

Le cerveau, premier moteur de vie avec le système digestif

Nous pensons tous que le fonctionnement du cœur est le plus important et que la mort vient forcément d’une défaillance cardiaque. C’est évident que la mort survient lorsque le cœur s’arrête de battre mais quand le cerveau fonctionne mal, ça peut être une cause de mortalité aussi et le cœur cède en arrêtant de jouer son rôle.

Le cerveau fait partie du corps

Le cerveau fait partie du corps

La tête est reliée au reste du corps

La tête fait partie du corps et elle peut être malade, tout comme le reste de votre être. Le cerveau a des maladies spécifiques à soigner. Le problème, c’est que les médicaments manquent presque tous de molécules pour soigner la cause de la maladie. Ils servent uniquement à atténuer les symptômes des maladies en utilisant des molécules qui font barrage à ce qui est désagréable dans la vie de tous les jours : les effets secondaires.

Organisation cérébrale

Le cerveau est divisé en deux hémisphères : le droit et le gauche. Le système limbique est le siège des émotions qui sont plus ou moins développées selon la situation vécue et votre tolérance au stress. Les émotions fortes qui angoissent sont parfois la cause de maladies comme certaines psychoses ou les troubles anxieux (maladies angoissantes par excellent).

Le cerveau, centre névralgique du corps

Le cerveau est le centre des informations, des sentiments, des émotions et de tout ce qui nous permet de fonctionner harmonieusement. C’est l’organe mystérieux par excellence parce que les scientifiques ne sont pas totalement connaisseurs du fonctionnement de cet organe. Il reste beaucoup à découvrir et à apprendre.

Stigmatisation

Les malades mentaux sont stigmatisés car ils sont considérés comme différents du reste de la population puisque la maladie fait faire des choses curieuses. Lorsqu’il est malade, il réagit mal et crée toutes sortes de connexion défaillantes qui s’appellent des symptômes et qui sont voyants selon certaines pathologies.

Je reviendrai avec un article plus complet sur la stigmatisation et le combat de certaines personnes qui veulent banaliser ces maladies pour faire tomber un tabou de notre société.

A bientôt,

Hannah

Et si ?

Bonjour,

Utopie

Utopie de Thomas More

 

Et si la Terre était belle ? Je ne vois pas ce qui pourrait l’en empêcher à part nous qui la détruisons toujours plus vite et plus fort.

Et si la Terre arrêtait de tourner ? Pourquoi faire peur aux humains avec des scénarios apocalyptiques qui ne sont pas prêts d’arriver ?

Et si nous arrêtions de faire de mauvaises choses ? A cause de nos pulsions de mort qui nous poussent à mal faire ; les prisons débordent.

Et si nous nous nourrissions correctement au lieu de prendre des substituts à la pharmacie ? Parce que nous ne nous intéressons pas à ce qui pourrait nous aider à traverser cette vie du mieux possible.

Et si on s’aimait vraiment au lieu de faire semblant ? Nous pourrions ouvrir la porte à notre voisin au lieu de lui chercher des poux qui nous mettent en colère en avance pour rien. Personne ne le fait et c’est dommage. La vie sur notre planète serait beaucoup mieux que celle de maintenant.

Et si les femmes avaient toutes le droit à la parole ? Elles seraient plus heureuses en étant considérées et mises en avant d’une façon qui les avantagent. Tous les hommes devraient savoir comment les intégrer dans notre société mais leurs parents (plus souvent le père) ne leur apprennent pas… Le machisme a encore des jours ensoleillés devant lui.

Et si les Marseillais(ses) étaient tous des artistes ? Il y en a déjà beaucoup qui ont un réel talent. Nous sommes des râleurs et nous nous exprimons en chansons, chose qui révolutionne la créativité dans tous les domaines. Je pense également à la médecine marseillaise qui est d’avant-garde.

Et si les guerres de territoires étaient terminées ? Nos peuples ne s’entendent pas et nous créons des conflits armés au lieu de faire des compromis. Comme toujours, nous allons tous à la facilité au lieu de faire les changements nécessaires dans le calme.

Et si et si, et encore si. Et si les rebelles pouvaient se calmer ? Non, ça, jamais. Ils peuvent être utiles à la société malgré tous leurs défauts.

Et si les utopies pouvaient se réaliser ? Ben, ce ne seraient plus des utopies mais la réalité. Amen

A bientôt,

Hannah

Prendre son envol

Bonjour,

Prendre son envol

Prendre son envol

Il était une fois une grande fille qui décide de quitter ses racines par amour pour son homme. Elle part sans pleurs mais avec un regard déterminé. Elle ne tourne pas la tête avant de passer le seuil de sa maison d’enfant et d’adolescente.

Sa mère est présente mais son père n’est pas là et ça ne choque personne puisque c’est comme ça depuis toujours. Il est médecin en libéral, ma mère ne travaille plus et ils doivent vivre et payer le loyer et les factures pour la maison et son cabinet de médecin.

Pendant que sa fille finit ses paquets, la mère reste stoïque et observe les cartons qui se remplissent de vêtements, maquillage, livres et les trésors qui suivront sa fille partout. C’est comme si le choc de l’annonce était plus fort que les cartons et les affaires qui partent dans la voiture.

La mère n’exprime rien. Son visage non plus ne montre rien mais sa fille sait que c’est très compliqué pour elle et elle fait en sorte de ne pas se mettre en colère comme à chaque séparation. Et, pour être honnète, elle est triste mais sûre de sa décision.

La fille prend le large et dans sa tête, c’est pour toujours. Elle a trouvé un homme respectueux qui l’aime et c’est réciproque. Elle sera toujours présente mais différemment. La chambre sera là pour rappeler qu’il y a une pièce en plus à aménager. Pourquoi pas un bureau ? Le meuble y est déjà alors autant l’utiliser. Pour l’instant, ce sera une chambre d’amis ; le bureau attendra, ce sera pour plus tard. Le confinement est encore très loin devant nous et il n’y a pas encore la nécessité de s’équiper pour rester à la maison.

La mère aide sa fille dans le choix des affaires à garder et celles qui seront jetées ou données. Elle a toujours apporté son jugement et son aide puisqu’elle sait comment il faut faire pour être bien

Je ne reviendrais sans doute pas. Mais ne jamais dire jamais.