La schizophrénie

la schizophrénie

La schizophrénie

  • Qu’est-ce que la schizophrénie ?

    En grec ancien, ce terme se traduit par « morcellement de la pensée ». C’est pourquoi, les médecins et la communauté scientifique parlaient d’une double personnalité mais c’était une erreur. Les schizophrènes ne sont pas atteints de dédoublement de personnalité. C’est prouvé. Je vous invite à cliquer sur le lien en fin d’article pour lire l’article qui en parle.

 

  • Quels sont les symptômes de cette maladie ?

 

  1. Les symptômes positifs

Les symptômes positifs sont les hallucinations. Ce sont des images, des sons, des odeurs qui n’existent pas dans la réalité comme par exemple, voir des éléphants roses qui dansent autour d’un pot de Nutella ou la télé qui se met subitement à vous parler. Avouez que c’est quand même très spécial. La schizophrénie est une maladie très spéciale mais comme toutes les maladies, elle a vocation à être soignée par des équipes de recherche scientifique.

Le problème est que les patients croient en ces hallucinations parce qu’ils n’envisagent pas un seul instant que ce soit faux et fabriqué par leur cerveau. Pour les soigner, il faudra donc détruire cette croyance.

  1. Les symptômes négatifs

Ensuite, il y a d’autres symptômes dits cognitifs : attention, concentration, mémoire, motivation, etc. La maladie attaque différentes zones du cerveau et c’est pour ça que cette maladie est dure à soigner. Souvent les médicaments aident mais n’agissent pas sur tout et ils ont un retentissement sur la vie du malade. Il est plus fatigué, il ne prend pas soin de lui, il ne va plus à ses rendez-vous, il n’a pas de travail et donc pas de logement indépendant pour la plupart et tout c’est un engrenage sans fin. La schizophrénie ne se soigne pas mais peut être qu’un jour, ce sera le cas.

  • La réaction au diagnostic

C’est stressant de recevoir ce diagnostic car il y a toute une connotation derrière mais ce n’est pas le problème des pouvoirs publics qui ne se préoccupe pas du sort des malades. La recherche n’avance pas car les chercheurs s’occupent d’autres maladies qui doivent être soignées elles aussi. La schizophrénie n’est pas une priorité, elle n’est pas mortelle. Il y a un traitement médicamenteux à vie et c’est tout.

  • Faire son deuil pour accepter d’être schizophrène

Les patients ont un deuil à faire pour accepter d’être malade et pour accepter qu’il n’y a pas d’autre solution que prendre des médicaments parce que c’est la seule chose qui puisse aider à ne pas être interné en psychiatrie.

  • Une maladie compliquée à soigner

Pourquoi est-ce si compliqué et pourquoi entraîne-t-elle encore des ravages sur le cerveau des patients ? La recherche nous a permis d’avoir des médicaments pour cette pathologie mais ils soignent les symptômes et ne s’attaquent pas à la cause de la maladie. C’est pour ça que j’ai dit plus haut que la recherche n’avance pas sur ce sujet. La schizophrénie ne touche pas une seule zone du cerveau mais plusieurs. La cause de cette maladie est à chercher dans le fonctionnement du cerveau mais aussi dans sa structure qui ont toutes les deux été changées avec cette maladie.

  • Le dire ou le cacher ?

Ceci est un choix personnel : c’est votre vie et votre confiance que vous choisissez de confier à la personne qui vous écoute lui dire que vous êtes différent(e) de la norme. Pour ça, il faut faire un travail d’acceptation pour vous y faire et accepter que cette confidence peut se retourner contre vous.  

  • Dédoublement de la personnalité ou pas ?

Il est prouvé scientifiquement qu’il n’y a pas de dédoublement de la personnalité dans la schizophrénie et qu’il n’y en aura jamais. Point.

Ne jamais dire jamais, l’espoir fait vivre comme on dit.

N’hésitez pas à commenter pour me donner votre avis sur cet article

A bientôt,

Hannah

 Pour aller plus loin :

_https://sante.lefigaro.fr/article/la-schizophrenie-n-est-pas-un-dedoublement-de-la-personnalite/

_https://www.doctissimo.fr/html/psychologie/mag_2002/mag0913/ps_6617_schizophrenie_conseils.htm#:~:text=Lors%20des%20pouss%C3%A9es%2C%20il%20est,parler%20pos%C3%A9ment%20de%20mani%C3%A8re%20g%C3%A9n%C3%A9rale.

Surdouance : chance ou maladie ?

Bonjour,

Surdouance : chance ou maladie ?

Surdouance : chance ou maladie ?

Qu’est-ce que la surdouance ? 

La surdouance : chance ou maladie ? La réponse dépend de chacun et de la connaissance de sa faculté ainsi que des connaissances sur cet état de fait. Oui, c’est un fait qui peut ressembler à une maladie mais qui n’en est pas un.

La définition exacte du mot surdoué est :  » se dit de quelqu’un qui présente un développement intellectuel exceptionnel » (Dictionnaire Hachette 2011).

Les conséquences sont compliquées à appréhender quand on l’apprend et c’est parfois un traumatisme lorsque l’annonce est mal faite. Le secret est de se trouver un domaine qui permet d’exceller et d’y prendre du plaisir.

Comment se manifeste-t-elle ?

Comment peut-on savoir si quelqu’un est surdoué(e) ou pas ? Tout simplement par des comportements qui ne sont pas tout à fait dans la norme et qui font de la personne un être différent et parfois étrange.

Le comportement est aussi accompagné par des capacités de réflexion hors norme. Les surdoués réflechissent beaucoup plus vite qu’une personne lambda et ils trouvent toujours une solution à leurs problèmes bien plus vite que les autres.

Comment le découvre-t-on ?

Ça commence comme une maladie et ça se transforme en surdouance. Les surdoués souffrent beaucoup de ne pas être comme les autres. Ils sont capables de s’habituer très vite aux changements et ils sont dotés d’une très grande adaptabilité pour cacher leur potentiel qui fait d’eux des êtres incompris et marginalisés.

Comment se fait l’acceptation ?

L’acceptation se fait petit à petit, marche par marche comme lorsque l’on apprend à vivre avec une faculté exceptionnelle qui dérange beaucoup au départ et puis de moins en moins avec le travail psychologique qui commence pour accepter ce fait.

Ce n’est pas une maladie, c’est quelque chose qui peut vous aider à « sauver le monde » si le/la surdoué(e) sait se débrouiller correctement pour se faire des contacts et développer ses idées d’une manière réaliste et cohérente.

Pour moi, c’est une chance. J’exploite mes capacités en les mettant au service de la communauté et tout se passe bien.

A bientôt,

Hannah