Rebéllion de l’adolescente en rébellion

Bonjour,

Rebellion de l'adolescente en rebellion

Rebellion de l’adolescente en rebellion

Rebellion adolescente oblige, vous prenez un malin plaisir à semer un désert intersidéral autour de vous avec vos manières rebelles… Hum, au final, vous en concluez que l’adolescence, ça craint et vous déclarez une crise séparatiste chronique et rebelle aux traitements médicamenteux. Le problème, c’est qu’à cette époque de la vie, il ne faut quand même pas être trop rebelle sous peine de vous retrouver puni à caller vos fesses dans le canapé à être spectateur de la rébellion parentale à base de séries avec des flingues stressants.

Alors, on a le choix : soit on part soit on reste et comme on est encore interdit de liberté automobile, la rébellion devient très agricultrice. Les plantes, voyez-vous, sont très éfficaces pour se taper des rails de rires devant des murs en voyant des pots de nutella entourés d’éléphants roses morts de rire. Complètement bizarre mais la réaction maternelle flippée était trop drôle à observer mine de rien, un brin d’herbe à la main.

Bon, oui, la rébellion adulte est encore plus traumatisante pour une mère quand il faut enlever les rideaux des fenètres pour cacher la sécession rebelle. Oui, devenir adulte entraine quelques concessions… Alors, on se dit qu’on est méchant et on s’enferme dans sa chambre avec la musique à fond pour cacher les tendances de crise pleureuse en décompensation rebelle.

A bientôt,

Hannah (la grande rebelle sécessionniste tanguinette) en sécession séditieuse rebelle