J’ai fait un rêve

Interprétation du rêve

« Interprétation du rêve » de Freud

Bonjour,

Je vous parle aujourd’hui d’un monde qui n’existe pas en Occident (dixit la chanson de Yannick Noah). Je vais vous parler d’un rêve que j’ai fait et qui m’a pas mal perturbé.

Bienvenue chez les bisounours ! Non, je plaisante. C’était tout le contraire. Je vous parle d’une guerre interminable. J’ai fini par la gagner, heureusement. Je n’étais pas la méchante de l’histoire, juste quelqu’un de transbahuté ici et là. Oui, je sais que nous sommes en paix depuis des décennies mais il n’empêche que je fais ce genre de rêve souvent. Comme si j’avais vécu ça en vrai. Mais non, en fait.

Je me vois avec un uniforme militaire et une arme à la main courant vers l’ennemi. La peur m’étreint de tout mon corps et je transpire fort. Je cherche mon déo et je ne le trouve pas. Je sue de plus en plus fort jusqu’à me transformer en flaque d’eau. Je garde ma conscience tout de même. Je ne veux pas que les autres trouvent la solution que j’ai trouvée pour survivre. Voilà, le rêve s’arrête là.

Je vous vois venir avec vos « mon dieu, elle doit se faire soigner ». J’en suis consciente, merci mais je ne prends pas rendez-vous parce que mes cauchemars sont tout ce qu’il y a de plus sains à part ça. Je n’ai pas besoin d’analyses de rêves, je ne suis pas aussi catégorique que ça.

Les rêves et les cauchemars sont des processus naturels pour évoluer dans la vie. Ils nous montrent la voie vers ce que nous devons devenir. Les cauchemars, tout comme les rêves, ont une signification particulière qui se basent sur quelque chose qui fait mal au départ. Les rêves ont un sens plus light mais ils ont aussi une signification précise.

Pour les intéressés qui veulent approfondir leur connaissance, je vous conseille le livre « L’interprétation du rêve » de Freud.

A dimanche prochain !

Chloé

Divagations sous une pluie d’été : j’ai rêvé

Rêver

Rêver

 

1- Le bonheur

Un jour, quelqu’un m’a prise par la main en me montrant le chemin vers le bonheur. Je l’ai suivi, ma main toujours dans la sienne. Je n’ai pas pensé à ce qui allait arriver, j’ai fait confiance à cette personne. Sans poser de questions, sans paroles vaines et inutiles, comme à mon habitude. « Parle-moi de toi » me dit cette personne. Mais je ne lui dit rien. J’aurai bien le temps plus tard, quand je serai vieille de raconter mes souvenirs. C’est un travail de vieille personne, pas celui d’une jeune femme. « Exprime ce que tu ressens » insista encore mon ami. Mais je ne savais pas ce que je ressentais à ce moment précis. Le vide commençait tout doucement à se remplir de joies et de plaisir inconnus et enivrants. J’irradiai de félicité, le printemps était enfin là. J’étais redevenue une petite fille heureuse et insouciante, sans soucis. « Prendre un enfant par la main » dit la chanson.

Le printemps revient toujours.

2- La poupée qui dit non

Elle disait non : c’était la poupée qui dit non. Elle s’affirmait par ce moyen. Nous chantions la chanson dans la voiture quand elle était venue en vacances à la maison. C’était une petite fille aux cheveux très bruns avec des yeux noirs. Elle avait un très grand charme. Adolescente, elle est toujours aussi jolie avec ses cheveux coiffés en queue de cheval.  Elle est dotée d’un grand cœur, elle est douce, elle est patiente avec les enfants, elle  est communicative à sa façon. Elle a une façon unique à elle de voir le monde qui l’entoure et elle est courageuse ; ce sont ses forces.