Les crises d’amour

Bonjour,

Tout d’abord, je vous souhaite une excellente année 2022 avec tout ce que vous souhaitez de meilleur pour vous et vos proches. Apprenez à vous aimer, à aimer vos proches et peut être, pourquoi pas, composer avec vos ennemis.

Amour, quand tu nous tiens

Amour, quand tu nous tiens

L’amour, qu’est-ce que c’est ?

L’amour, c’est la liberté comme dit le poète. La liberté, c’est grisant et on souhaite tous réaliser ce rêve d’enfant. Chacun de nous a sa propre définition de la liberté et de l’amour. A deux, ils ont la possibilité d’amener le bonheur selon certains. L’amour apporte le bonheur, le bonheur entraine la liberté, la liberté amène la santé.

Lorsque l’on a pas tout ça, on est triste parce que nos besoins ne sont pas assouvis. Et, psychiquement, c’est angoissant et c’est un facteur pour avoir certaines maladies psychiatriques. C’est un cercle vicieux et il faut le briser pour être bien, c’est comme ça.

Un être vivant a un besoin primaire de reproduction à assouvir et l’humain l’a transformé en sentiment amoureux d’où l’expression « tomber amoureux ». Pour ça, il y a deux façons de craquer pour quelqu’un : le coup de foudre ou l’attachement qui se renforce au fil des mois au début de la relation.

L’être humain n’est pas formaté pour ce sentiment. Beaucoup en ont peur et refusent toutes les tentatives qui mènent à un attachement profond.

Aimer quelqu’un est naturel, nous sommes tous fabriqués pour ça et c’est comme ça. Je ne vois pas comment le dire autrement. Bien sûr, l’amour est un sentiment, nous ne naissons pas avec. C’est la vie et notre cerveau qui décident que nous allons aimer quelqu’un ou pas. Là encore, nous n’avons pas le choix.

Je vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures !

Hannah

Suis-je fou/folle ?

La folie se traduit par un discours et des actions étranges, incohérentes et sans logique. La définition exacte est « changement de l’esprit associé à un comportement étrange » (dictionnaire Hachette édition 2011)

La folie n'est pas ce que les normaux pensants s'imaginent
La folie n’est pas ce que vous imaginez

La question peut se poser dans le cadre de la maladie mentale pour des personnes qui ne sont plus saines d’esprit. Mais lorsque vous commencez à vous poser cette question, c’est que vous vous rendez compte de ce qui se passe et ça signifie que vous êtes sain(e) d’esprit et donc pas fou/folle.

La maladie induit un mode de vie adapté et une médication imposée. Suivant la pathologie, les médicaments fatiguent énormément et ils peuvent être un frein à la vie normée par des gens qui n’ont pas ce genre de problèmes.

La vie est également faite pour être malade et beaucoup de personnes meurent de pathologies diverses et variées. La maladie mentale peut tuer lorsqu’elle n’est pas prise en charge correctement et dans un cadre sécurisé et adapté. Les suicides sont monnaie courante dans le milieu psychiatrique car certaines personnes ne supportent pas d’être malades et ostracisées.

Les patients sont victimes de discriminations du fait des a-priori que les normaux ont sur les maladies mentales. Le savoir et le prendre en compte font partie du processus d’acceptation de la maladie. Certains patients sont dangereux pour eux et ils ne s’en rendent pas compte. C’est un sujet qui m’énerve et je ne m’étalerai pas plus sur le sujet. Sachez qu’il y a toujours des solutions aux problèmes que l’on rencontre tout au long de la vie. Il faut juste du courage et de l’optimisme même si certaines maladies ne se guérissent pas malheureusement.

Je vous souhaite une bonne semaine et un bon weekend. Vous pouvez me laisser un commentaire si vous le souhaitez.

A bientôt pour un nouvel article !

Hannah

Le triangle de Karpman

Le triangle de Karpman est un système que tous les manipulateurs quelqu’ils soient utilisent pour avoir ce qu’ils souhaitent.

Le triangle de Karpman

D’après la définition du dictionnaire, un manipulateur est : « une personne qui use la manipulation mentale » Je rajoute à cette définition, « qui use de la manipulation mentale à des fins personnelles ».

Il n’y a pas que les pervers qui l’utilisent même si les pervers en usent et en abusent sur les victimes et les sauveurs qui s’oublient dans une relation extrêmement toxique pour eux.

Le persécuteur, le manipulateur, « fait main basse » sur une victime et un sauveur qui essayent de s’entraider pour survivre à leur bourreau.

Le problème, c’est que le sauveur ne peut pas arriver à sauver la victime et la victime ne peut pas se sauver non plus parce que c’est elle qui prend le plus de mauvaises ondes dans l’histoire puisqu’elle est incapable de réfléchir par elle-même tout le temps que dure l’emprise. Et elle dure tant que son bourreau le décide. Plus la relation d’emprise psychologique est longue et plus il est compliqué de s’en aller.

Le sauveur/la sauveuse n’a plus de raisonnement sain dans le sens où son unique préoccupation est de sauver la victime. Mais il/elle est encore capable de raisonnement logique contrairement à la victime.

Le sauveur et la victime vivent dans un état de stress permanent ce qui tue plus surement que les mots qui font très mal mais qui ne font qu’entretenir le stress pour que le bourreau puisse continuer à tuer tranquillement. Les zones du corps à surveiller sont les surrénales (glandes qui « gèrent » le stress en le régulant) et les coronaires (cage thoracique, près du coeur).

Si quelqu’un dans votre entourage est malveillant avec vous ou les autres, ne cherchez pas à avoir une relation quelle qu’elle soit avec lui/elle. Ne prenez pas de risque avec votre santé. Elle est trop importante et ça n’en vaut pas la peine. Soyez méfiant(e), ce n’est pas un vilain défaut : dites-vous que vous vous aimez assez pour ne pas tomber dans le piège de la manipulation.

Les caractéristiques du sauveur, de la victime et du bourreau viendront dans un autre article.

A bientôt,

Hannah

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

Bonjour,

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent. Non, je n’en ai aucune idée. Je ne peux faire que des hypothèses et je vais essayer d’en faire dans cet article.

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

Je ne sais pas comment les pervers vieillissent

 

Leur état reste le même

Ils sont pervers et ils continuent encore et toujours à chercher des proies pour retarder l’échéance qui se rapproche inéxorablement. Ils sont conscients de leur état et ils ne s’en cachent pas, comme lorsqu’ils étaient jeunes et qu’ils « s’amusaient » à choisir des proies pour les faire souffrir et leur voler de l’énergie vitale. Le triangle de Karpman est plus que jamais d’actualité et il fonctionne à plein régime.

Triangle de Karpman

Karpman est un médecin psychiatre, spécialisé dans l’analyse transactionnelle et la psychologie contemporaine. Il a enseigné la psychiatrie à l’Université de Californie.

Ils sont encore plus entrainés et deviennent réellement dangereux pour les autres

Ils ont de l’expérience dans l’art de manipuler et ils le font savoir ! Avec le temps, ils deviennent de plus en plus redoutables et, du coup, redoutés. C’est leur but : ils veulent faire peur pour attraper l’énergie des personnes qui ont des énergies négatives parmi leurs amis (c’est possible qu’ils en aient), famille, etc. Toutes les personnes côtoyées sont susceptibles de devenir une proie appréciable et appréciée. 

Ils ont peur de la mort et ils le font bien sentir à leur entourage

Ils stressent tout le monde en disant qu’ils vont bientôt mourir et, ainsi, attirer la sympathie et l’intention sur leur personne. Ils attendent de se faire plaindre et il y en a même qui s’inventent des maladies pour culpabiliser les autres en reportant la faute sur l’entourage compatissant et rempli de culpabilité et de regrets. Encore un moyen de récupérer de l’énergie vitale.

Ils se retrouvent tous seuls mais continuent à chercher du soutien dans l’entourage familial

La plupart du temps, ils se voient vieillir et plus le processus final approche et plus ils ont peur. Ils savent sans doute qu’ils ne reviendront pas et qu’ils n’auront peut être pas de réincarnation à cause du mal qu’ils ont fait pendant leur vie terrestre. En tout cas, ils ne se réincarneront pas en gentil. C’est pour ça qu’ils faut accepter l’idée qu’ils ne reviendront pas et que c’est mieux pour tout le monde.

Ils laissent tomber leurs habitudes perverses

Ne vous en déplaise, ils ne deviendront certainement pas normaux avant de mourir. Au contraire, ils auront tendance à en vouloir toujours plus.

Voilà, ce sont des hypothèses somme toute assez banales mais qui sont les miennes. Je n’ai rien inventé et je ne me suis pas renseigné avant de faire cet article. J’ai joué le jeu jusqu’au bout et je viens de vous livrer mes conclusions personnelles dans cet article.

A bientôt, 

Hannah

 

Ecrire sur les pervers

Ecrire sur les pervers

Ecrire sur les pervers

Ecrire sur les pervers, c’est un soulagement de savoir le faire pour remonter la pente et aller mieux. Personne n’a l’obligation d’écrire mais certains/es le font puisqu’ils en ressentent le besoin.

Vider son sac

D’abord, le besoin de mettre des mots sur ce qui s’est passé ou se passe encore. Les pervers(e) ne laissent pas tomber leurs victimes si facilement. C’est eux qui décident quand la relation se termine et ne se privent pas de le faire savoir à la compagne ou le compagnon qui le découvre en même temps que tous les autres.

Ecrire sur les pervers permet d’aller mieux

L’écriture est un très bon exutoire et c’est efficace pour faire une sorte de catharsis qui est la libération émotionnelle d’une représentation refoulée dans l’inconscient et responsable de troubles psychiques selon le dictionnaire Hachette.

Se faire du bien

Quelque soit le sujet, écrire fait du bien lorsque l’on aime ça. C’est comme de la détente sauf que l’on fait marcher son cerveau pour produire quelque chose de bien. Dans ce cas, publier n’est pas une priorité. L’important est de lâcher ce qui a été trop dur et qui est à l’origine de la relation que vous avez vécu. Autrement dit, qu’est-ce qui était intéressant dans votre personnalité et votre passé pour que le pervers(se) vous choisisse, vous.

Se faire confiance

Se faire un minimum confiance est primordial pour écrire quelque chose, quoique ce soit. Bien sûr, c’est un argument bateau. Il faut se faire confiance pour tous les évènements de la journée et de la vie. L’existence n’aurait pas de saveur sinon mais la période post-pervers est très douloureuse parce qu’il faut lutter pour ne pas y retourner malgré le fait que le pervers(e) a visiblement trouvé mieux ailleurs et qu’il vous le fait savoir pour que vous souffriez encore plus.

S’aimer, tout simplement

Chacun a sa méthode pour grossir son narcissisme après un trauma. C’est une des manière de redevenir résilient face au choc traumatique et les réactions qui s’ensuivent inévitablement. Comment réussir à s’aimer lorsque l’on est secoué par une tornade émotionnelle ? Chacun a sa méthode mais le but est de devenir résilient et donc, d’apprendre à vivre avec ce choc sans qu’il y ait des répercussions fâcheuses sur le moral et le physique. Lorsque l’on accepte une situation ou un état de fait, on devient résilient. Pour certaines personnes, il faudra faire un long chemin et pour d’autres, il sera beaucoup plus court. Cela dépend de chacun. Si le travail ne se fait pas tout seul, il faudra consulter un spécialiste.

Un pervers peut-il guérir ?

Bonjour,

Les pervers peuvent-ils guérir ?

Les pervers peuvent-ils guérir ?

Un pervers peut-il guérir ? Le problème est que nous ne connaissons pas suffisamment ce type de problème de personnalité limite.

La perversion : état de fait ou maladie ?

La perversion n’est pas une maladie, c’est un état limite. C’est un trait de personnalité qui est inné chez la personne concernée. Il y a des hommes et des femmes pervers(e).

Le terme exact est « pervers narcissique ». Personnellement, je ne parle pas de narcissisme parce qu’ils en sont dépourvus et c’est là tout le problème. Ils essayent d’avoir chez les autres ce qu’ils n’ont pas chez eux/elles en leur volant de l’énergie vitale et en rendant leur victime ou sauveur malade à cause du stress qu’engendre cette relation.

Sont-ils fous/folles ?

Dans la vie quotidienne, le terme « folie » désigne l’égarement de la raison et « l’état limite » désigne les affections psychopathologiques entre la névrose et la psychose.

La perversion se situe dans les états limites et il ne faut qu’un pas pour que les pervers plongent dans la psychose, ce qu’ils/elles cherchent à éviter absolument en faisant du mal aux autres puisqu’ils refusent absolument de se faire soigner. Les professionnels de santé mentale sont leurs ennemis numéro un ; ils ne veulent pas entendre parler de cette branche de la médecine. C’est pourquoi, nous avons que très peu d’informations sur cet état puisqu’il y a très peu d’expériences scientifiques qui ont été réalisées à ce jour.

Leur faire peur avec ce qu’ils aiment le plus

Votre pervers aime plus que tout les films Marvel ? Créez-lui une peur avec ce contenu. Dans ce cas, c’est uniquement de la légitime défense. Je ne vous dis pas de vous transformer en pervers parce qu’à partir du moment où vous être sain(e), vous le resterez toute votre existence.

Et si votre pervers a peur des pervers ? Ben faites lui sa fête en le faisant douter de ses perceptions et de ses « connaissances » en matière de perversion. Nous sommes d’accord pour dire que vous ne vous connaissez pas à fond et donc, eux/elles non plus.

Savent-ils ce qu’ils font, sont-ils lucides ?

Oui, ils le savent parfaitement bien et ils font souffrir les autres sciemment. Même avec cette tournure d’esprit, ils restent lucides et ils sont donc pénalement responsables devant un tribunal. C’est la bonne nouvelle. La mauvaise, c’est qu’ils savent manipuler les juristes aussi bien que vous, une fois qu’ils ont trouvé votre faille. Obtenir une condamnation suite à un procès est très compliqué, il faut des preuves en béton pour le/la faire condamner : tout ce que vous avancez doit être prouvé.

Comment peuvent-ils guérir ?

Je ne pense pas qu’ils puissent être guéri grâce aux méthodes de la psychologie classique. Je pense que pour eux, il faut se remettre en question et innover dans la pratique même si ça semble peine perdue.

Ils sont lucides sur leur état et leur problématique. Pourquoi ne pas utiliser une méthode qui permettrait de les pousser vers la névrose, en leur créant des peurs, plutôt que vers la psychose ? Les peurs se soignent avec beaucoup de temps et de patience, du moment qu’on les affronte. J’ai fait un article intitulé « Affronter ses peurs »(http://chloeannadavidben.wpweb.fr/tag/affronter-ses-peurs/) qui résume la méthode pour arriver à évacuer ses peurs.

Surdouance : chance ou maladie ?

Bonjour,

Surdouance : chance ou maladie ?

Surdouance : chance ou maladie ?

Qu’est-ce que la surdouance ? 

La surdouance : chance ou maladie ? La réponse dépend de chacun et de la connaissance de sa faculté ainsi que des connaissances sur cet état de fait. Oui, c’est un fait qui peut ressembler à une maladie mais qui n’en est pas un.

La définition exacte du mot surdoué est :  » se dit de quelqu’un qui présente un développement intellectuel exceptionnel » (Dictionnaire Hachette 2011).

Les conséquences sont compliquées à appréhender quand on l’apprend et c’est parfois un traumatisme lorsque l’annonce est mal faite. Le secret est de se trouver un domaine qui permet d’exceller et d’y prendre du plaisir.

Comment se manifeste-t-elle ?

Comment peut-on savoir si quelqu’un est surdoué(e) ou pas ? Tout simplement par des comportements qui ne sont pas tout à fait dans la norme et qui font de la personne un être différent et parfois étrange.

Le comportement est aussi accompagné par des capacités de réflexion hors norme. Les surdoués réflechissent beaucoup plus vite qu’une personne lambda et ils trouvent toujours une solution à leurs problèmes bien plus vite que les autres.

Comment le découvre-t-on ?

Ça commence comme une maladie et ça se transforme en surdouance. Les surdoués souffrent beaucoup de ne pas être comme les autres. Ils sont capables de s’habituer très vite aux changements et ils sont dotés d’une très grande adaptabilité pour cacher leur potentiel qui fait d’eux des êtres incompris et marginalisés.

Comment se fait l’acceptation ?

L’acceptation se fait petit à petit, marche par marche comme lorsque l’on apprend à vivre avec une faculté exceptionnelle qui dérange beaucoup au départ et puis de moins en moins avec le travail psychologique qui commence pour accepter ce fait.

Ce n’est pas une maladie, c’est quelque chose qui peut vous aider à « sauver le monde » si le/la surdoué(e) sait se débrouiller correctement pour se faire des contacts et développer ses idées d’une manière réaliste et cohérente.

Pour moi, c’est une chance. J’exploite mes capacités en les mettant au service de la communauté et tout se passe bien.

A bientôt,

Hannah

Métier passion

 

Bonjour,

métier passion

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Qu’est-ce qu’un métier passion ? Voici des clés pour vous épanouir au travail.

Définition du métier passion

Un métier passion est une activité que vous adorez pratiquer. Par exemple, vous adorez écrire et vous devenez écrivain à temps plein. Pour la motivation, c’est beaucoup mieux de vous lever de bonne humeur en vous disant que vous allez passer une bonne journée plutôt que de penser que ça ne va pas bien se passer et que vous n’allez pas réussir à atteindre votre objectif.

Pourquoi est-ce important de s’épanouir au travail ?

C’est important parce que les émotions que vous avez au travail peuvent se répercuter négativement et se transformer en maladie du stress ou en burn out. Par exemple, votre collègue vous fait la morale pour telle ou telle chose et vous prenez cette remarque trop à cœur.

Au travail comme ailleurs, il faut savoir relativiser parce que le stress ne pourra pas prendre place en vous et vous serez complètement détendu(e) pour continuer la conversation. Ce sera un moyen d’être beaucoup plus efficace pour trouver la solution au problème et devenir résilient.

Faire un choix professionnel qui vous correspond

Pour trouver du travail, il faut pouvoir prouver que vous avez les compétences pour exercer le métier que vous souhaitez avoir. Personne n’a le droit de vous forcer à choisir une voie qui ne vous correspond pas et qui vous rend malheureux. C’est la porte ouverte aux maladies professionnelles qui peuvent aller jusqu’à un épisode dépressif.

Certains métiers ne rapportent pas assez et il faut parfois exercer une deuxième profession en plus de votre métier passion pour vivre décemment. La vie est faite pour faire des choix. Si ce n’est pas possible dans un contexte lambda, il faut parfois lâcher le métier pour lequel vous êtes fait et remettre à plus tard la réalisation des objectifs qui pourraient aider à commencer à vivre de votre passion.

Evoluer et grimper les échelons professionnellement

Les perspectives d’évolution sont source de motivation parce que ça vous donne un but à atteindre au bout du chemin. C’est l’impression que votre travail est reconnu et qu’il est de bonne qualité puisque vous montez en grade. Vous en êtes capable, alors foncez ! Accepter la proposition revient à dire merci.

Faire en sorte que les journées passent plus vite

Lorsque vous aimez votre travail, vous ne voyez plus le temps passer. La notion de plaisir au boulot est importante parce qu’elle a le pouvoir d’impacter votre vie toute entière avec tout ce que ça implique. Voilà pourquoi s’orienter vers un travail doit être un choix personnel. Vous serez seul(e) avec vos sentiments et vos émotions négatives parce que personne ne peut les ressentir à votre place et c’est très important de savoir ça quand on s’engage durablement avec une entreprise lambda.

Si vous avez des questions, vous pouvez me les poser dans les commentaires sous cet article.

A bientôt,

Hannah

Le cerveau fait partie du corps

Bonjour,

Le cerveau fait partie du corps ; il est relié au reste du corps par le cou. C’est grâce à lui que nous fonctionnons comme nous le faisons. Il donne les ordres et le reste du corps exécute ses volontés.

Le cerveau, premier moteur de vie avec le système digestif

Nous pensons tous que le fonctionnement du cœur est le plus important et que la mort vient forcément d’une défaillance cardiaque. C’est évident que la mort survient lorsque le cœur s’arrête de battre mais quand le cerveau fonctionne mal, ça peut être une cause de mortalité aussi et le cœur cède en arrêtant de jouer son rôle.

Le cerveau fait partie du corps

Le cerveau fait partie du corps

La tête est reliée au reste du corps

La tête fait partie du corps et elle peut être malade, tout comme le reste de votre être. Le cerveau a des maladies spécifiques à soigner. Le problème, c’est que les médicaments manquent presque tous de molécules pour soigner la cause de la maladie. Ils servent uniquement à atténuer les symptômes des maladies en utilisant des molécules qui font barrage à ce qui est désagréable dans la vie de tous les jours : les effets secondaires.

Organisation cérébrale

Le cerveau est divisé en deux hémisphères : le droit et le gauche. Le système limbique est le siège des émotions qui sont plus ou moins développées selon la situation vécue et votre tolérance au stress. Les émotions fortes qui angoissent sont parfois la cause de maladies comme certaines psychoses ou les troubles anxieux (maladies angoissantes par excellent).

Le cerveau, centre névralgique du corps

Le cerveau est le centre des informations, des sentiments, des émotions et de tout ce qui nous permet de fonctionner harmonieusement. C’est l’organe mystérieux par excellence parce que les scientifiques ne sont pas totalement connaisseurs du fonctionnement de cet organe. Il reste beaucoup à découvrir et à apprendre.

Stigmatisation

Les malades mentaux sont stigmatisés car ils sont considérés comme différents du reste de la population puisque la maladie fait faire des choses curieuses. Lorsqu’il est malade, il réagit mal et crée toutes sortes de connexion défaillantes qui s’appellent des symptômes et qui sont voyants selon certaines pathologies.

Je reviendrai avec un article plus complet sur la stigmatisation et le combat de certaines personnes qui veulent banaliser ces maladies pour faire tomber un tabou de notre société.

A bientôt,

Hannah

Et si ?

Bonjour,

Utopie

Utopie de Thomas More

 

Et si la Terre était belle ? Je ne vois pas ce qui pourrait l’en empêcher à part nous qui la détruisons toujours plus vite et plus fort.

Et si la Terre arrêtait de tourner ? Pourquoi faire peur aux humains avec des scénarios apocalyptiques qui ne sont pas prêts d’arriver ?

Et si nous arrêtions de faire de mauvaises choses ? A cause de nos pulsions de mort qui nous poussent à mal faire ; les prisons débordent.

Et si nous nous nourrissions correctement au lieu de prendre des substituts à la pharmacie ? Parce que nous ne nous intéressons pas à ce qui pourrait nous aider à traverser cette vie du mieux possible.

Et si on s’aimait vraiment au lieu de faire semblant ? Nous pourrions ouvrir la porte à notre voisin au lieu de lui chercher des poux qui nous mettent en colère en avance pour rien. Personne ne le fait et c’est dommage. La vie sur notre planète serait beaucoup mieux que celle de maintenant.

Et si les femmes avaient toutes le droit à la parole ? Elles seraient plus heureuses en étant considérées et mises en avant d’une façon qui les avantagent. Tous les hommes devraient savoir comment les intégrer dans notre société mais leurs parents (plus souvent le père) ne leur apprennent pas… Le machisme a encore des jours ensoleillés devant lui.

Et si les Marseillais(ses) étaient tous des artistes ? Il y en a déjà beaucoup qui ont un réel talent. Nous sommes des râleurs et nous nous exprimons en chansons, chose qui révolutionne la créativité dans tous les domaines. Je pense également à la médecine marseillaise qui est d’avant-garde.

Et si les guerres de territoires étaient terminées ? Nos peuples ne s’entendent pas et nous créons des conflits armés au lieu de faire des compromis. Comme toujours, nous allons tous à la facilité au lieu de faire les changements nécessaires dans le calme.

Et si et si, et encore si. Et si les rebelles pouvaient se calmer ? Non, ça, jamais. Ils peuvent être utiles à la société malgré tous leurs défauts.

Et si les utopies pouvaient se réaliser ? Ben, ce ne seraient plus des utopies mais la réalité. Amen

A bientôt,

Hannah