Quand l’esprit dialogue avec le corps

 

L’esprit et le cerveau (structure et fonction)

Le structuralisme en psychologie

 

Le fonctionnalisme en psychologie

 

Dans le livre Quand l’esprit dialogue avec le corps, on parle de l’esprit et du corps. Ils sont tous les deux en étroite relation. C’est un livre sur la vie à travers les questions qui sont traitées dans les douze chapitres de ce livre écrit sous la direction de Daniel Goleman, journaliste scientifique spécialisé dans les sciences du comportement. Pour lui, comme pour beaucoup de scientifiques, la fonction et la structure sont liées par le fonctionnement du cerveau et du corps. 

La liaison entre le corps et l’esprit

Comment fonctionne cette liaison ? Elle s’effectue par le biais des différentes parties du cerveau ou il y a à la fois le rôle de la structure et de la fonction. Par exemple, l’hippocampe a un rôle important dans la mémoire et l’apprentissage. Son volume est réduit par certaines maladies comme Alzheimer ou la dépression.

Le corps et l’esprit

D’après le dictionnaire Hachette de 2011, le corps se définit comme une partie matérielle d’un être animé par opposition à l’esprit. Comme pour l’esprit, il y a une fonction et une structure. 

Structure et fonction

Le cerveau dirige le corps grâce à son mode de fonctionnement. En effet, il donne les ordres et le corps obéit. L’homéostasie est bien régulée. Parfois, le cerveau ordonne différemment de la normale et nous tombons malade. La plupart du temps, l’homéostasie est bien régulée. 

Le cerveau est l’organe qui est soigné par la psychologie et la psychiatrie. Nous ressentons tous des émotions. La psychologie est la science qui concerne le fonctionnement du cerveau et la psychiatrie étudie la structure du cerveau.

Liaison entre le corps et le cerveau

Dans ce livre, nous avons le point de vue d’experts. Ils ont étudié cet organe et résument leur pensée tirée des conclusions d’études sur le comportement. Elles ont été menées par des spécialistes et des volontaires américains. 

Voilà, cet article sur ce livre. J’ai beaucoup aimé le lire et je vous encourage à aller y jeter un œil.

A bientôt,

Hannah

La liberté

La liberté
La liberté

La liberté s’arrête quand il s’agit d’empiéter sur celle des autres et vice versa.

Etre libre psychologiquement

Cela veut dire tout simplement que vous pensez par vous même et que vous prenez toutes vos décisions seule.

Dépendance affective

Lorsque vous êtes dépendant affectivement, votre vie ne vous appartient plus. Vous être victime de maltraitance psychologique et vous n’êtes plus vous. Votre liberté vous est enlevée de force et vous êtes incapable de la récupérer par vous-même.

Couper le cordon

Lorsque vous n’êtes pas libre, vous n’arrivez pas à couper le cordon. Vous essayez de toutes vos forces mais vous n’y arrivez pas parce que vous avez été conditionné pour rester dans l’existence de votre bourreau. Il n’a aucun intérêt à vous rendre votre liberté.

Evadez-vous dans votre tête, rêvez de choses agréables, faites-vous un jardin secret dont personne d’autre que vous n’a la clé. Adhérez à des groupes qui s’adonnent à une activité sportive, artistique,… Le but est de vous changer les idées et de calmer vos émotions négatives que vous entretenez en restant avec la personne qui vous prive de liberté.

Etre libre spirituellement

On peut faire ce que l’on veut, prendre des décisions mais en n’empéchant pas les autres de le faire aussi.

Faire ce que l’on veut

On a tous dit une fois : « je fais ce que je veux ». Oui, et la plupart d’entre nous a déjà pris une décision importante. Il ne faut pas avoir peur de prendre la décision de s’en aller et de mettre fin à une relation toxique. C’est ce qu’il y a de mieux à faire et c’est un comportement très sain de savoir dire stop. Il n’y a pas d’autres limites à sa propre liberté que celle des autres.

Les limites à ne pas franchir

C’est mal d’interdire aux autres de s’épanouir et de les forcer à dépasser leurs limites. Il y a des situations qu’il vaut mieux ne pas avoir à vivre comme ne plus pouvoir s’exprimer et vivre librement. La liberté est une guerre contre ceux qui ne veulent pas que l’on soit autonome et indépendant et qui ne vivent que pour ça.

Défendez vous, défendez votre liberté, soyez vous et ressemblez vous aussi fort que vous le pouvez. Il est de votre devoir de changer les choses dans le bon sens du terme.

A bientôt,

Hannah

Se battre contre un pervers

Bonjour,

Se battre contre un pervers

Se battre contre un pervers

Pour cet article, je vais employer le pronom « il » par commodité. Je ne veux pas dire qu’il n’y a que des hommes pervers. Il y a aussi des femmes perverses. Se battre contre un pervers est un long supplice et vous n’obtenez pas toujours ce que vous souhaitez.

Pourquoi écrire sur les pervers ? Tout simplement pour faire sauter un tabou.

La perversion n’est pas considérée comme une maladie mentale et pourtant, les pervers se nourrissent de l’énergie des autres pour ne pas devenir fous.

Se battre contre un pervers = se battre contre soi ?

Que ce soit bien clair : faire ce genre de choses, c’est mal et les pervers(e)s sont profondément mauvais. Ils recherchent à capter l’attention des autres pour qu’on leur donne de l’importance. Ensuite, ils vous mettent en confiance pour trouver votre faille et vous faire souffrir avec.

Derrière la faille, il y a une souffrance  narcissique et le pervers cherche à exploiter cette douleur profonde que vous avez. Le point positif, c’est que si vous arrêtez d’avoir cette souffrance et qu’elle ne revient plus, vous avez réussi à vous débarasser de votre faille.

Qu’est-ce que veut vraiment le pervers ?

Il veut qu’on lui accorde de l’importance et il est prêt à tout mettre en oeuvre pour ça. Il cherche à être le centre de l’attention, comme un enfant de cinq ans. Sauf qu’un enfant est en pleine construction psychique et lui, non.

Il est parfaitement conscient de ses actes et il les prémédite même. Il lui faut toujours une victime pour ne pas devenir fou. C’est ce qu’il devient quand il est tout seul et l’autodestruction commence comme ça. Il est en lutte perpétuelle contre sa folie et c’est une question de survie pour lui.

Est-il pénalement responsable ou pas ?

Il est pleinement conscient de ses actes, il est donc responsable pénalement. Attention à ses agissements si vous entamez une procédure contre lui : il sait très bien comment manipuler et mentir pour que les accusations se retournent contre le/la plaignant(e) puisque c’est sa parole contre la sienne. Il n’y a pas de témoin la plupart du temps parce que l’entourage se tait et nie ce qui se passe lorsqu’ils sont témoins de quelque chose.

Ils connaissent les lois pénales sur les bouts des doigts et ça les rend redoutables au tribunal. Souvent, ils gagnent leur procès et la victime n’est pas reconnue en tant que telle ce qui rajoute une bonne dose de souffrance en plus du reste.

Voilà, les pervers savent et usent de tout ce qui est à leur disposition pour nuire. Leur combat pour ne pas être malade est quelque chose qui s’impose à eux et qu’ils veulent imposer aux autres.

Je vous souhaite une bonne semaine et à bientôt.

Hannah

 

 

Les mensonges

Bonjour,

Les mensonges

Les mensonges, c’est mal.

Tout le monde utilise les mensonges pour plusieurs raisons : pour le côté social, pour rester poli, pour ne pas blesser quelqu’un, etc.

Les mensonges, c’est mal. Mentir nuit aux autres et à vous aussi parce que le secret est toujours découvert. Cachez la vérité par d’autres moyens mais pas avec ce procédé malsain.

Les mensonges, c’est mal. Celà n’arrange personne et ne soulage personne. Au contraire, ça crée des tensions qui n’existaient pas auparavant.

Les mensonges, c’est mal. Il y a d’autres moyens de taire la vérité en n’abordant pas le sujet, tout simplement même si quelqu’un d’autre en parle. Il y a une façon de répondre qui fait taire tout commentaire.

Les mensonges, c’est mal. Ça fait du mal aux autres et personne n’en profite même pas le menteur/menteuse. Cette personne est un triste sire. Il y a d’autres moyens pour ne pas dire une vérité.

Les mensonges, c’est mal. C’est blessant et ça démontre un grand manque de confiance envers soi et les autres. Ce trait de caractère est un très grand défaut qui mérite d’être amélioré avant tout pour soi-même et après, pour les autres.

Les mensonges, c’est mal. Ça fait de la peine lorsqu’ils sont découverts. Le menteur est démasqué et c’est frustrant de se rendre compte qu’il y a des personnes qui font encore ce genre de choses et qui croient que c’est pour le bien de l’autre personne, la personne à qui l’on ment.

Les mensonges, c’est mal. Il peut être ressenti comme une humiliation et il n’y a pas de doute que s’en est une mais de manière déguisée. Parfois, c’est un mensonge par politesse comme on dit. Est-ce vraiment de la politesse ?

Les mensonges, c’est mal. Les mensonges par omission, c’est mal tout comme ceux qui sont verbalisés. On ne dit pas à un enfant de trois ans que son père est mort si c’est pas vrai et on ne tait pas la vérité sous pretexte de protéger quelqu’un d’autre.

Les mensonges, c’est mal.

Pour aller plus loin : 

Pourquoi on ment ?

https://www.aufeminin.com/ma-psychologie/pourquoi-ment-on-s643121.html#:~:text=On%20ment%20pour%20ne%20pas,pr%C3%A9server%20notre%20relation%20avec%20autrui.

Hannah

Les quatre accords toltèques

Bonjour,

Les quatre accords toltèques est un livre de développement personnel centré sur un apprentissage du bonheur. Il est divisé en quatre sentences qui sont les suivantes : que votre parole soit impeccable, quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle, ne faites pas de suppositions et faites toujours de votre mieux.

Les quatre accords toltèques

Les quatre accords toltèques

1. D’un point de vue développement personnel

L’auteur des quatre accords toltèques nous donne des recettes qui ont l’air d’être simple à appliquer si on ne l’a pas déjà fait avant.

Ce livre a fait un véritable carton, il est même devenu un best seller dans le monde entier.

Personnellement, je trouve que c’est des conseils très vrais mais qui sont évidents pour moi qui lit beaucoup de livre de développement personnel et qui essaye d’appliquer certains conseils dans ma vie. Mais ce n’est que mon avis et ça n’engage que moi.

2. D’un point de vue littéraire

D’un point de vue littéraire, le style est simple et efficace. L’auteur, Miguel Ruiz, décrit ses idées de façon directe et claire. Pour lui, ses conseils sont des choses évidentes et il veut nous transmettre la sagesse qu’il a appris de ses ancètres les Toltèques. C’est ce qu’il explique au début quand il nous parle de ses motivations pour écrire son livre.

Il n’y a pas à proprement parler de style littéraire comme nous l’entendons mais une écriture sans chichis et qui ne va pas se perdre dans des figures de style ou autre. Le style est « formaté » de telle façon que les arguments et les conseils semblent aller de soi alors que pour certaines personnes, ces conseils ne coulent pas de source : il y a ceux qui souhaitent apprendre et s’enrichir personnellement de ce type de conseils.

3. Mon avis

Chacun son histoire mais la recherche du bonheur ne passe pas forcément par Les quatres accords toltèques. Il y a beaucoup de manières d’être heureu(se) et les critères sont différent selon les individus. Un animal, un jouet, un livre, etc. peuvent rendre heureux et aider à comprendre les choses sans être passé par la lecture des Quatres accords toltèques.

Vous l’aurez compris, il y a du bon et du moins bon dans ce livre mais si vous aimez le développement personnel, il reste un livre qui est une référence sur le mode de pensée toltèque.

Le bonheur amène la liberté ! Et vous, qu’est-ce qui vous rend heureux ? Dites-moi le dans les commentaires et à bientôt pour un nouvel article !

A bientôt,

Hannah

 

 

Les maladies mentales

 

Bonjour,

Aujourd’hui, je reviens avec une petite vulgarisation sur les maladies mentales. Il y a trois catégories de maladies et je vais les détailler un peu dans cet article.

Anatomie du cerveau

Anatomie du cerveau

1. La psychiatrie, qu’est-ce que c’est ?

C’est la spécialité médicale et psychologique qui s’occupe des troubles et des maladies mentales. Les médecins sont appelés des psychiatres. Ils sont habilités à prescrire des médicaments.

 

Le côté psychologique est le ressort des psychologues qui ont reçu une formation universitaire pour écouter et faire parler les patients de leurs problèmes qui ne les rendent pas heureux.

 

2. Les maladies psychiatriques dites maladies mentales

 

Les maladies mentales sont classées en trois catégories : les névroses, les états limites et les psychoses. Certaines maladies se soignent et d’autres sont incurables.

 

Les psychoses sont essentiellement la schizophrénie et la maniaco-dépression. Les états limites sont de l’ordre de la perversité, de la violence verbale et physique, des troubles du comportement. Les névroses regroupent tout le reste des maladies mentales.

 

3. Impact de ces maladies sur la vie quotidienne

 

Ces maladies s’attaquent au cerveau qui a pour mission de bien faire fonctionner le corps en entier. Les scientifiques sont au tout début de leurs recherches sur le fonctionnement de cet organe ce qui signifie qu’ils n’en savent pas encore beaucoup sur les moyens de guérir toutes les maladies.

 

La maladie crée un ou plusieurs handicap. La vie quotidienne se retrouve totalement chamboulée et c’est parfois très compliqué de vivre avec ça. Il faut s’adapter notamment en permettant à un handicapé d’avoir de l’argent tous les mois pour vivre en attendant le retour au travail avec un poste adapté avec un aménagement d’horaire par exemple.

 

La vie de couple est compliquée. Celui/celle qui vit avec la personne malade peut ne pas êtte heureux du tout. Le malade doit prévenir l’autre dans ce sens en lui fournissant un dossier explicatif sur sa maladie pour les explications techniques et une discussion sur ce qu’il peut être amené à vivre pour qu’il/elle puisse faire un choix et s’y tenir.

 

4. Les maladies mentales : tabou ou pas tabou ?

 

Dans notre société, les maladies mentales sont taboues. Personne n’en parle à part les soignants et les malades qui arrivent encore à avoir un langage clair et cohérent.

 

Certains services hospitaliers (je ne connais que celui de Marseille) cherchent à lutter contre la stigmatisation en laissant les malades s’exprimer à travers des oeuvres. Il y en a qui choisissent les arts plastiques et d’autres l’écriture. Il n’y a pas besoin d’avoir du talent mais quelques heures de travail pour la réalisation. Ensuite, le résultat est proposé aux yeux du public pour leur montrer qu’il n’y a pas de raison d’avoir peur et que les malades sont eux aussi capables de se surpasser pour le meilleur.

 

Voilà, c’était un article sur les maladies mentales que je dédie à toutes les personnes qui le liront.

 

A bientôt,

 

Hannah

La schizophrénie

la schizophrénie

La schizophrénie

  • Qu’est-ce que la schizophrénie ?

    En grec ancien, ce terme se traduit par « morcellement de la pensée ». C’est pourquoi, les médecins et la communauté scientifique parlaient d’une double personnalité mais c’était une erreur. Les schizophrènes ne sont pas atteints de dédoublement de personnalité. C’est prouvé. Je vous invite à cliquer sur le lien en fin d’article pour lire l’article qui en parle.

 

  • Quels sont les symptômes de cette maladie ?

 

  1. Les symptômes positifs

Les symptômes positifs sont les hallucinations. Ce sont des images, des sons, des odeurs qui n’existent pas dans la réalité comme par exemple, voir des éléphants roses qui dansent autour d’un pot de Nutella ou la télé qui se met subitement à vous parler. Avouez que c’est quand même très spécial. La schizophrénie est une maladie très spéciale mais comme toutes les maladies, elle a vocation à être soignée par des équipes de recherche scientifique.

Le problème est que les patients croient en ces hallucinations parce qu’ils n’envisagent pas un seul instant que ce soit faux et fabriqué par leur cerveau. Pour les soigner, il faudra donc détruire cette croyance.

  1. Les symptômes négatifs

Ensuite, il y a d’autres symptômes dits cognitifs : attention, concentration, mémoire, motivation, etc. La maladie attaque différentes zones du cerveau et c’est pour ça que cette maladie est dure à soigner. Souvent les médicaments aident mais n’agissent pas sur tout et ils ont un retentissement sur la vie du malade. Il est plus fatigué, il ne prend pas soin de lui, il ne va plus à ses rendez-vous, il n’a pas de travail et donc pas de logement indépendant pour la plupart et tout c’est un engrenage sans fin. La schizophrénie ne se soigne pas mais peut être qu’un jour, ce sera le cas.

  • La réaction au diagnostic

C’est stressant de recevoir ce diagnostic car il y a toute une connotation derrière mais ce n’est pas le problème des pouvoirs publics qui ne se préoccupe pas du sort des malades. La recherche n’avance pas car les chercheurs s’occupent d’autres maladies qui doivent être soignées elles aussi. La schizophrénie n’est pas une priorité, elle n’est pas mortelle. Il y a un traitement médicamenteux à vie et c’est tout.

  • Faire son deuil pour accepter d’être schizophrène

Les patients ont un deuil à faire pour accepter d’être malade et pour accepter qu’il n’y a pas d’autre solution que prendre des médicaments parce que c’est la seule chose qui puisse aider à ne pas être interné en psychiatrie.

  • Une maladie compliquée à soigner

Pourquoi est-ce si compliqué et pourquoi entraîne-t-elle encore des ravages sur le cerveau des patients ? La recherche nous a permis d’avoir des médicaments pour cette pathologie mais ils soignent les symptômes et ne s’attaquent pas à la cause de la maladie. C’est pour ça que j’ai dit plus haut que la recherche n’avance pas sur ce sujet. La schizophrénie ne touche pas une seule zone du cerveau mais plusieurs. La cause de cette maladie est à chercher dans le fonctionnement du cerveau mais aussi dans sa structure qui ont toutes les deux été changées avec cette maladie.

  • Le dire ou le cacher ?

Ceci est un choix personnel : c’est votre vie et votre confiance que vous choisissez de confier à la personne qui vous écoute lui dire que vous êtes différent(e) de la norme. Pour ça, il faut faire un travail d’acceptation pour vous y faire et accepter que cette confidence peut se retourner contre vous.  

  • Dédoublement de la personnalité ou pas ?

Il est prouvé scientifiquement qu’il n’y a pas de dédoublement de la personnalité dans la schizophrénie et qu’il n’y en aura jamais. Point.

Ne jamais dire jamais, l’espoir fait vivre comme on dit.

N’hésitez pas à commenter pour me donner votre avis sur cet article

A bientôt,

Hannah

 Pour aller plus loin :

_https://sante.lefigaro.fr/article/la-schizophrenie-n-est-pas-un-dedoublement-de-la-personnalite/

_https://www.doctissimo.fr/html/psychologie/mag_2002/mag0913/ps_6617_schizophrenie_conseils.htm#:~:text=Lors%20des%20pouss%C3%A9es%2C%20il%20est,parler%20pos%C3%A9ment%20de%20mani%C3%A8re%20g%C3%A9n%C3%A9rale.

La psychanalyse

Aujourd’hui, nous nous penchons sur la psychanalyse. Je vais traiter les questions les plus simples pour vous donner un ordre d’idée sur ce que c’est, la psychanalyse.

La psychanalyse
FREUD

Qu’est-ce que c’est ?

La psychanalyse est une méthode pour analyser les pensées et les comportements des humains. En grec ancien, psyché signifie pensée et psukhē, esprit/âme. La théorie psychanalytique stipule que la personne est poussée et tirée par un réseau complexe de forces internes et externes.

C’est également une forme de psychologie qui s’appuie sur la perspective psychodynamique.

C’est une technique intensive et prolongée d’exploration des désirs et des conflits inconscients d’anxieux ou de névrosés. Le sujet est incapable de résoudre de façon adéquate les conflits internes : pulsions inconscientes irrationnelles du ça, contraintes sociales intériorisées et imposées par le surmoi.

Le sujet n’établit pas une harmonie intrapsychique, ce qui accroit la conscience des forces du ça. Il réduit la soumission excessive aux exigences du surmoi et renforce le rôle de l’égo.

A quoi ça sert ?

La nature humaine a besoin de plus de rationalité et que les actions proviennent de motifs inconscients. La psychanalyse aide les conflits à devenir conscients pour les soigner.

La personnalité se forme avec des éléments siégeant dans l’esprit de la personne. La théorie réside dans l’accent qui est mis sur la confrontation de différentes sources comportementales internes.

Au coeur de la personnalité se trouvent les évènements siégeant dans l’esprit du sujet et qui motivent son comportement.

Freud et la psychanalyse

Freud élabore la théorie psychanalytique grâce aux observations qu’il fait en tant que neuroligue. Il le fait au sujet du fonctionnement psychique : pulsions, conflit, mécanismes de défense, identification projective, clivage.

Pour Freud, tous les comportements sont motivés. Chaque action humaine possède une cause, une motivation. Il y a également un but. Ils peuvent être révélés par l’analyse des associations d’idées, des rêves, des erreurs et de tous les indices comportementaux des passions internes.

Psychologie clinique et psychanalyse

Un psychanalyste est un thérapeute ayant suivi une analyse didactique et une formation complète à l’approche freudienne de la compréhension et des traitements des troubles mentaux.

 

Les symptômes de la dépression

 

Bonjour,

 

Les symptômes de la dépression
Les symptômes de la dépression

Les symptômes de la dépression

Aujourd’hui, je traite des symptômes de la dépression. Je parle évidemment des principaux mais pas de ce que ça entraine sur la vie quotidienne. En France, une personne sur quatre est atteinte de cette maladie très handicapante. 

Voir le bout du tunnel, c’est le rêve de tous les déprimés de cette planète. Aujourd’hui, je fais un article sur la dépression dont voici les symptômes : tristesse de l’humeur, ralentissement global (baisse de la motivation, difficultés de concentration), idées noires, des soucis pour l’alimentation et le sommeil, anxiété, diminution de la sensation de plaisir et une indifférence. Dans cet article, je vous explique ce que signifie avoir une dépression dans le détail en me basant sur les symptômes.

Tristesse de l’humeur

On se sent triste pendant une dépression. Tellement triste que l’on a l’impression que ça durera toujours. La tristesse peut être liée à un évènement ou à rien de particulier. Elle est envahissante et ne laisse aucun répit à la personne dépressive.

Ralentissement global (baisse de la motivation, difficultés de concentration)

Il est de plus en plus compliqué de se concentrer et de se motiver. L’envie n’est plus là et on ne retient plus rien puisque la concentration est liée à l’apprentissage intellectuel.

Idées noires

Le propre de la dépression est d’avoir des idées noires comme le suicide ou d’autre mais toujours liée à l’idée du suicide qui est pensé comme quelque chose d’efficace pour soulager la souffrance psychique. Les crises de larmes sont fréquentes. 

Soucis pour l’alimentation et le sommeil

On perd des kilos pendant une dépression et on ne dort plus. Le cerveau dit stop et signale qu’il y a un problème. Bien sûr, je ne parle pas de personnes qui décident de faire un régime parce qu’ils en ont besoin. Je parle d’une importante perte de poids qui devient pathologique avec le temps.

Anxiété

Les crises d’angoisse sont fréquentes. Elles sont à différencier des crises de spasmophilie qui ne se manifestent pas de la même manière que l’anxiété généralisée ou pas. En gros, la crise donne l’impression que l’on va mourir à cause du souffle coupé.

Diminution de la sensation de plaisir, une indifférence

Plus rien n’a d’importance sur cette planète. Tout ce que l’on voit, c’est la souffrance. Il n’y a plus de plaisir. Tout devient une corvée qui n’apporte aucun plaisir et généralement, on se moque complètement de ce que l’on est en train de faire.

Voilà, la dépression est une maladie qui se soigne même si ce n’est pas immédiat. Les médicaments aident à diminuer les symptômes même si le traitement de cette maladie passe aussi par un psychologue pour éradiquer le probleme de façon définitive.

Pour en savoir plus : 

https://www.la-depression.org/comprendre-la-depression/symptomes-de-la-depression/

A bientôt, 

Hannah

 

Lâcher prise

 

Bonjour, 

L’objectif de 2021 était d’apprendre à lâcher prise et arrêter d’accorder trop d’importance à des choses qui n’en valaient pas la peine et d’apprendre à relativiser. Ça a été douloureux mais nécessaire.

 

Lâcher prise

Lâcher prise

Je ne suis pas en train de dire qu’il faut se moquer de tout, loin de là. Mais il est utile de faire la part des choses en n’accordant de l’importance aux choses qui sont réellement importantes.

1. Alors, comment faire le tri ?

Tout simplement en se fixant des limites et en privilégiant ce qui a une vraie valeur à nos yeux : il faut connaitre ses priorités. Ce qui, sur une échelle de 1 à 1000, vous fait le plus vibrer. Celà peut être votre famille en 1000 ou votre travail en 1 pour ceux qui ont simplement un travail alimentaire qui leur sert uniquement à avoir un budget pour survivre tous les mois. On va du plus petit au plus grand dans cette échelle. 

2. Echelle des priorités

Ce tableau est un outil managérial pour faire fonctionner correctement des équipes de travail mais il peut être adapté à la vie quotidienne très facilement et donc, à définir des actions prioritaires et des activités préférées dans le quotidien. Je m’explique : il faut faire des choix dans la vie. Préférez-vous aller voir vos parents ou boire un café en terrasse ? Choisissez en sachant que vous n’avez pas la possibilité de faire les deux.

Allez vous regretter votre choix ? Alors, ce n’est pas le bon et vous devez revoir le niveau que vous attribuez à votre action. C’est important d’arriver à appliquer cette technique car elle permet de vider votre charge mentale qui s’accumule un peu tous les jours.

Cela peut entrainer un burn out de ne pas prendre le temps de faire ça car la charge mentale accompagnée de stress est très mauvaise pour le cerveau et il peut devenir véritablement malade.

Pour aller plus loin : 

https://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Interviews/Lacher-prise-c-est-accepter-ses-limites